« On peut se demander si les effets de réduction de l’internationalisation, avec l’éventuelle « fin de l’hypermobilité » consécutive à la pandémie de COVID-19, ne pourraient pas réduire l’urbanisation des villes, notamment de celles qui s’étaient positionnées comme des nœuds d’une économie planétaire, et qui pourraient avoir moins d’attractivité si le monde évolue vers des économies plus régionalisées. »

Accéder à l’article de Gérard-François Dumont, « L’urbanisation du monde : pourquoi, jusqu’où ? » ici.

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