« La fin de règne annoncée pourrait bien n’être qu’une parenthèse. C’est, en tout cas, le voeu le plus cher de Netanyahou, convaincu d’être seul maître après Dieu à pouvoir guider la barque d’Israël au coeur des tempêtes pour la conduire au rang des puissances redoutées et respectées. Certes, un sérieux obstacle se dresse devant lui avant l’échéance de 2024 : le verdict des trois juges de la cour de district de Jérusalem, devant laquelle « l’accusé Netanyahou » a comparu le 24 mai 2020, a de fortes chances d’être rendu avant cette date butoir. »

Accéder à l’article de Denis Charbit, « La démocratie israélienne à l’épreuve de Netanyahou » ici.

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