Le numéro d’été de Politique étrangère (n° 2/2018) sort mercredi !
Au programme, un dossier sur la cybersécurité, un contrechamps sur l’Inde, et de nombreux articles d’actualité : l’UE et la lutte contre le terrorisme, les nouvelles options nucléaires des États-Unis, l’énergie comme nouvel enjeu stratégique chinois, la piraterie dans le golfe de Guinée… Découvrez le teaser de notre prochain numéro !
Le nouveau numéro de Politique étrangère (1/2018) vient de paraître ! Il consacre un dossier complet aux États, qui, avec la mondialisation, voient leurs frontières et leurs souverainetés s’affaiblir. Les États seraient-ils désormais marginaux sur la scène du monde ? C’est la réponse que tente d’apporter ce premier dossier de l’année 2018. Parallèlement, de nombreux articles viennent éclairer l’actualité, en particulier sur la crise en Catalogne, le devenir de l’Égypte du général Sissi ou encore l’impasse dans laquelle semble être le Venezuela.
Les États seraient-ils désormais marginaux sur la scène du monde ? Le débat sur « la fin des États » a pu le laisser croire ; mais on assisterait plutôt à une prolifération des « désirs d’États », divers et contradictoires. Politique étrangère s’interroge sur le rôle et le destin de ces États, si différents selon leurs histoires et leurs environnements.
États à reconstruire (Syrie, Irak), chancelants mais résistants (Liban), contestés de l’intérieur (Royaume-Uni, Espagne), menacés de naufrage (Égypte, Venezuela), ou États forts (la Chine de Xi Jinping et ses stratégies de plus en plus visibles et globales) : tous forment, en réalité, la seule structure pérenne de la scène internationale.
En un temps où le multilatéralisme semble contesté, voire méprisé par le plus grand d’entre eux, les États-Unis, on doit s’interroger sur ce qui est commun à tous ces États, sur ce qui les différencie, pour imaginer ce que pourrait être leur société de demain.
Le nouveau numéro de Politique étrangère (4/2017) vient de paraître ! Il consacre un dossier complet à l’Irak après Daech, tandis que le « Contrechamps » se concentre sur la rupture de l’ordre mondial sous la présidence Trump. Enfin, comme à chaque livraison, de nombreux articles viennent éclairer l’actualité, en particulier sur le Yémen et la crise Corée du Nord/États-Unis.
Au-delà des revendications de rupture, Trump bouleverse-t-il l’ordre international et la place qu’y occupent les États-Unis ? La rubrique Contrechamps de ce numéro répond : oui, au moins par sa critique radicale du multilatéralisme. Une critique qui pourrait laisser le pays bien seul en marge d’un multilatéralisme se reconstituant sans lui. Mais Trump doit aussi être vu comme un symptôme : celui de la crise d’un ordre libéral qui a, ces dernières années, divisé les peuples, les a montés les uns contre les autres, ouvrant la voie aux populismes de toute nature.
Le nouveau numéro de Politique étrangère (3/2017) vient de paraître ! Il consacre un dossier complet à l’Arctique et ses enjeux stratégiques, tandis que le « Contrechamps » se concentre sur l’Arabie Saoudite et son environnement régional. Enfin, comme à chaque édition, de nombreux articles viennent éclairer l’actualité, comme les élections allemandes ou encore la crise du Golfe.
Deux espaces stratégiques sont à l’honneur dans le numéro de la rentrée de Politique étrangère.
L’un, l’espace Arctique, aligne les enjeux : militaires, énergétiques, climatiques, économiques et commerciaux. Avec des revendications qui se croisent, s’opposent, mais essaient de dialoguer dans un multilatéralisme tempéré. L’Arctique serait-il la survivance d’un multilatéralisme mal en point, ou l’annonce d’une société internationale mieux gérée en commun ?
Tout autre tableau : celui qu’offrent le Golfe arabo-persique et le Levant. Des rivalités ouvertes de puissances régionales qu’échouent à maîtriser des puissances extérieures démonétisées. La crise qui oppose l’Arabie Saoudite au Qatar n’est que l’écho d’oppositions mal stabilisées, d’une recomposition régionale (entre Arabie, Iran, Turquie…) dont les dynamiques nous échappent. Le tout dans une région qui demeure stratégiquement essentielle, pour tous les acteurs globaux, y compris en Asie.
Plus proches de nous : les élections allemandes de septembre 2017. L’inconnue n’est pas tant le nom du vainqueur que sa marge de manœuvre future. Angela Merkel disposera-t-elle de la coalition qui lui permettra de prendre les bonnes décisions pour l’Europe, avec un partenaire français qui est à la fois demandeur… et attendu ? »
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Découvrez la présentation vidéo de Dominique David :
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