[CITATION] Naviguer sur l’océan multilatéral : lost in decomposition ?

Retrouvez l’article de Frédéric Ramel ici.

Découvrez le sommaire du numéro 2/2025 de Politique étrangère ici.

Protecting Democracy in Europe

Cette recension a été publiée dans le numéro dété 2025 de Politique étrangère (n° 2/2025). Thibault Muzergues propose une analyse de l’ouvrage de Tom Theuns, Protecting Democracy in Europe: Pluralism, Autocracy and the Future of the EU (Hurst, 2024, 336 pages).

Comment lutter contre l’érosion démocratique et la progression de l’autoritarisme au sein même de l’Union européenne (UE) ?

Même s’il revient dans sa première partie sur l’érosion des normes démocratiques dans certains pays de l’Union – en particulier en Pologne sous le PiS, et surtout la Hongrie du Fidesz –, les insuffisances nationales de ces pays ne constituent pas le thème central du livre : il s’agit plutôt ici d’explorer les failles de l’UE qui, en dépit de l’engagement clair des traités pour le maintien de l’état de droit et de la démocratie, a été impuissante à arrêter les tendances autocratiques des gouvernements en question.

[CITATION] Sauver l’ONU, sauver le multilatéralisme

Retrouvez l’article de Bernard Miyet ici.

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Une fièvre américaine

Cette recension a été publiée dans le numéro d’été 2025 de Politique étrangère (n° 2/2025). Yves Gounin, conseiller d’État, propose une analyse croisée des ouvrages suivants : Nancy L. Rosenblum et Russell Muirhead, Ungoverning: The Attack on the Administrative State and the Politics of Chaos (Princeton University Press, 2024, 280 pages) ; Julien Jeanneney, Une fièvre américaine. Choisir les juges de la Cour suprême (CNRS Éditions, 2024, 392 pages) ; Stephen Breyer, Interpréter la Constitution américaine. La lettre ou l’esprit (Odile Jacob, 2024, 368 pages).

L’élection de Donald Trump et les décisions annoncées depuis son investiture constituent sans doute l’événement majeur de l’année, sinon de la décennie. Pour deux raisons. La première, qu’on avait tendance à minorer à force d’évoquer l’inexorable déclin de la puissance américaine, est que les États-Unis restent une hyperpuissance dont le leadership influence l’ordre mondial. La seconde tient évidemment à la personnalité disruptive de son président, dont l’absence de filtre et le goût pour la provocation réservent quasiment chaque jour son lot d’annonces hilarantes et effarantes.

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