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Géopolitique du Hezbollah

Cette recension a été publiée dans le numéro d’hiver 2024 de Politique étrangère (n° 4/2024). Jean-Loup Samaan, ancien chercheur associé au Programme Turquie/Moyen-Orient de l’Ifri, propose une analyse de l’ouvrage de Christophe Ayad, Géopolitique du Hezbollah (PUF, 2024, 216 pages).

Depuis sa création en 1983, le Hezbollah libanais a fait l’objet d’une vaste littérature académique. Dans cet ouvrage concis, le journaliste Christophe Ayad propose une synthèse qui, sans prétendre à l’exhaustivité, permet de faire le point sur un mouvement dont l’actualité récente nous rappelle la centralité au Moyen-Orient.

Les leçons de la crise syrienne

Cette recension a été publiée dans le numéro d’automne 2024 de Politique étrangère (n° 3/2024). Denis Bauchard propose une analyse de l’ouvrage de Fabrice Balanche, Les leçons de la crise syrienne (Odile Jacob, 2024, 352 pages).

Fabrice Balanche, universitaire spécialiste du Moyen-Orient, propose une synthèse lucide et documentée de la tragédie syrienne depuis 2011, confirmant l’ampleur du désastre d’un pays qui s’est vidé de plus de 8 millions d’habitants, a connu des destructions massives ainsi qu’une véritable partition, sous un gouvernement exsangue qui ne contrôle au mieux que les deux tiers du territoire. Le pays, déjà « en état de faillite à la veille de la révolte » de 2011, est désormais totalement sinistré.

[CITATION] La Syrie : représailles « post-guerre civile » et rémanence du passé

Lisez l’article de Myriam Benraad ici.

Retrouvez le sommaire du numéro 2/2024 de Politique étrangère ici.

Israël, le piège de l’histoire

Cette recension a été publiée dans le numéro d’été 2024 de Politique étrangère (n° 2/2024). Denis Bauchard propose une analyse de l’ouvrage de Gérard Araud, Israël, le piège de l’histoire (Tallandier, 2024, 208 pages).

Ce nouvel ouvrage, nourri d’une longue expérience diplomatique aux États-Unis et en Israël, nous donne un tableau sans concession tant de la politique israélienne qu’américaine.

Fustigeant les « certitudes obsessionnelles » des Israéliens, soulignant la « fusion mortifère de la religion et d’un nationalisme » et qualifiant le gouvernement de Benjamin Netanyahou de « fasciste », l’auteur estime que l’échec des négociations menées par Barak en 2001 et Olmert en 2008 relevait essentiellement de la responsabilité israélienne.

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