
Accéder à l’article de Jolyon Howorth, « Sortir de l’impasse euro-américaine » ici.
Retrouvez le sommaire complet du numéro 3/2020 de Politique étrangère ici.
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Le 6 septembre dernier, Le Nouvel Esprit Public a consacré l’une de ses brèves à l’article de Clément Beaune, secrétaire d’État chargé des Affaires européennes, publié dans le nouveau numéro de Politique étrangère (n° 3/2020) : « L’Europe, par-delà le COVID-19 ».
« Nous nous sommes souvent interrogés à ce micro sur les fondements idéologiques du macronisme, nous moquant parfois des tentatives de ses conseillers de le définir comme un progressisme. C’est pourquoi j’aimerais saluer l’excellent essai de Clément Beaune, le premier vraiment sérieux, où sont étudiées les bases de la politique européenne d’Emmanuel Macron. J’ai l’impression qu’il y a là ce pilier du macronisme que nous nous sommes évertués à chercher. Lisez-le, c’est un très long papier mais une excellente analyse de ce qui constitue l’exception de Macron. »
Relisez l’article de Clément Beaune ici.
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Le 9 septembre dernier, Jacques Munier a consacré son émission « Le Journal des Idées » sur France Culture à la situation en Biélorussie. Il y cite notamment Roman Kuzniar, auteur de l’article « Sur la Russie : penser européen », publié dans le numéro 1/2020 de Politique étrangère.
[…] Dans la dernière livraison de la revue Politique étrangère, Roman Kuzniar énonce les préalables à toute relation sérieuse de l’Union européenne avec la Russie. D’abord ne pas se cacher la nature véritable, en partie héritée de l’histoire, de la politique étrangère russe : un esprit néo-impérial et une logique visant à peser sur la situation globale en Europe, notamment par une guerre idéologique, « qu’elle emprunte la forme de cyber-attaques, de désinformation, ou de soutien des partis nationalistes hostiles à l’Europe unie ». Ensuite, et à raison même, maintenir un front européen uni pour contrer les tentatives de division induites par la multiplication des relations bilatérales. Il s’agit d’éviter que le Kremlin ne choisisse lui-même les termes du dialogue, écartant les questions gênantes sur les droits de l’homme ou la sécurité, en limitant les gains de l’Europe « à des contrats intéressant seulement certains pays ». […]
Lisez l’article de France Culture en entier ici.
Accédez à l’article de Roman Kuzniar sur Cairn ici.
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