
Lisez l’éditorial du n° 4/2024 de Politique étrangère ici.
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Le nouveau numéro de Politique étrangère (n° 4/2024) sort le 3 décembre prochain ! Au sommaire, un dossier sur les nouvelles géopolitiques de l’énergie, suivi d’un contrechamps sur la justice pénale internationale. Au-delà de ces articles, d’autres contributions viennent éclairer l’actualité : l’Axe de la résistance et les proxys de l’Iran, l’Asie face au choc démographique, le signalement stratégique et la dissuasion nucléaire… Des textes pertinents pour mieux appréhender les enjeux actuels et à venir !
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Alors que la Cour pénale internationale (CPI) vient d’émettre un mandat d’arrêt contre Benyamin Netanyahou, Yoav Gallant et le chef de la branche armée du Hamas, nous vous proposons en exclusivité de lire l’article « Justice pénale internationale : l’épreuve de vérité », écrit par Marc Perrin de Brichambaut, juge à la Cour pénale internationale de 2015 à 2024, et à paraître dans le nouveau numéro de Politique étrangère (n° 4/2024) début décembre.
La justice pénale internationale peut-elle être un facteur de paix ? La mise en œuvre des dispositions du Statut de Rome a déjà connu plusieurs temps. À mesure que sont mis en cause les plus hauts responsables, ou que la Cour pénale internationale intervient dans des conflits majeurs et non clos (Ukraine, Palestine), les positions des États – parties ou non au Statut – évoluent. Les années à venir devront préciser les positions des États parties, les méthodes de la Cour et sa place dans l’architecture juridique internationale.
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Suite à la condamnation à perpétuité de Ratko Mladic par le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) pour le génocide de Srebrenica, mais aussi pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, nous vous invitons à relire le dossier du numéro d’hiver 2015-2016 de Politique étrangère, « Justice pénale internationale : un bilan », et notamment l’article de Jean-Arnault Dérens, « Le Tribunal pour l’ex-Yougoslavie : une faillite annoncée ? ».
« La création du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), en 1993, devait marquer le début d’une nouvelle ère du droit international. Loin des « tribunaux des vainqueurs » formés après les conflits, il s’agissait de créer une juridiction neutre et impartiale, pouvant dire le droit alors que la guerre se poursuivait encore. Telle fut du moins le « récit des origines » que le Tribunal tenta d’imposer alors que, dans la décennie suivante, il faisait figure d’instrument central des processus de démocratisation et de stabilisation des Balkans d’après-guerre. Le TPIY tirait même gloire d’avoir été la première juridiction internationale ayant mis en accusation un chef d’État en exercice – en l’occurrence Slobodan Milosevic, inculpé le 22 mai 1999.
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