Auteur/autrice : Politique Etrangère Page 4 of 533

[CITATION] Intelligence artificielle : la compétition internationale

Lisez l’article de Benjamin Pajot ici.

Retrouvez le sommaire du numéro 3/2024 de Politique étrangère ici.

Histoire mondiale des relations internationales de 1900 à nos jours

Cette recension a été publiée dans le numéro d’automne 2024 de Politique étrangère (n° 3/2024). Laurence Badel propose une analyse de l’ouvrage dirigé par Pierre Grosser, Histoire mondiale des relations internationales de 1900 à nos jours (Bouquins, 2024, 1248 pages).

Fruit de la réflexion d’une équipe d’historiens et de politologues travaillant au Canada et en France, cet ouvrage est la première tentative ambitieuse de renouvellement de l’écriture de l’histoire des relations internationales contemporaines, appliquée à un long XXe siècle. Le découpage décennal conçu par Pierre Grosser s’émancipe à la fois de l’approche événementielle de l’Histoire diplomatique de 1919 à nos jours, encore rééditée par Jean-Baptiste Duroselle en 1993, et de l’approche chrono-thématique propre à de nombreux autres ouvrages comme le livre coordonné en 2003 par Antony Best, Jussi Hanhimäki, Joseph A. Maiolo et Kirsten E. Schulze, International History of the Twentieth Century and Beyond.

[CITATION] « De l’Ukraine à Gaza : l’Intelligence artificielle en guerre »

Lisez gratuitement l’article d’Amélie Férey et Laure de Roucy-Rochegonde ici.

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Ombres chinoises

Le 15 septembre dernier, François Clemenceau a publié dans sa chronique « Le monde à l’endroit » (La Tribune) un article qui interroge, à quelques semaines des élections présidentielles, le « rapport [américain] à la Chine ». Il cite à cet effet l’article écrit par Maud Quessard, « Quelle politique étrangère démocrate après Biden ? » et celui de Philippe Le Corre, « La Chine au cœur de la politique étrangère américaine », parus dans le n° 3/2024 de Politique étrangère.

En l’absence d’un autre débat présidentiel aux États-Unis d’ici au 5 novembre, la question du rapport à la Chine, une obsession de la classe politique américaine, ne sera pas au cœur des sujets de la campagne. Le monde entier, dont l’Europe, aimerait pourtant ne pas être dans le doute sur les intentions des États-Unis.

Le moins que l’on puisse dire du débat de mardi soir entre Donald Trump et Kamala Harris, c’est qu’il n’a pas franchement « pivoté » vers l’Asie. Et pas beaucoup plus sur la Chine, bien que les deux candidats aient dit en quelques mots seulement à quel point ils continueraient à prémunir les États-Unis dans la compétition commerciale et technologique qui les oppose à leur premier concurrent.

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