Le 28 novembre, Nouvelles du monde a publié un article , « Soldats morts au Mali : quels sont les groupes terroristes recherchés au Sahel ? », à la fin duquel est cité l’article d’Alain Antil, directeur du Centre Afrique subsaharienne de l’Ifri, « Sahel : soubassements d’un désastre », publié dans le numéro d’automne de Politique étrangère (n° 3/2019).

La France est présente au Mali depuis janvier 2013 dans le cadre de l’opération Barkhane au Sahel. Mardi, treize soldats français ont été tués dans la région nord de Menaka lors d’une collision entre deux hélicoptères lors d’une bataille contre les djihadistes.
 
								 
			
 Parmi les différents ouvrages parus ces dernières années sur le terrorisme dans la zone saharo-sahélienne, le livre de Lemine Ould M. Salem est particulièrement stimulant. L’auteur, qui couvre cette zone depuis des années pour plusieurs journaux européens, a été l’un des rares journalistes à s’être rendu dans le nord du Mali en 2012, alors que la région échappait à l’autorité de Bamako et que ses principales villes étaient administrées par trois mouvements islamistes : Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO) et Ansar Dine.
Parmi les différents ouvrages parus ces dernières années sur le terrorisme dans la zone saharo-sahélienne, le livre de Lemine Ould M. Salem est particulièrement stimulant. L’auteur, qui couvre cette zone depuis des années pour plusieurs journaux européens, a été l’un des rares journalistes à s’être rendu dans le nord du Mali en 2012, alors que la région échappait à l’autorité de Bamako et que ses principales villes étaient administrées par trois mouvements islamistes : Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO) et Ansar Dine. 
		
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