
Retrouvez l’article d’Isabelle Rousseau ici.
Découvrez le sommaire du numéro 1/2025 de Politique étrangère ici.
Le dernier numéro de Politique étrangère (n°3/2016) dont le dossier est consacré à l’Amérique latine a été récemment mis à l’honneur dans le média espagnol Tendancias21.
América Latina encarnaba hace tiempo una democratización política imparable, una evolución de sus sociedades hacia la reducción de las grandes desigualdades y su inserción en una economía mundializada. Pero este sueño ha terminado, señala Politique étrangère en su último número. […]
« L’Amérique latine a longtemps incarné un modèle de démocratisation politique en plein essor, une évolution des sociétés vers une réduction des inégalités et une insertion progressive dans une économie mondialisée. Mais ce rêve a pris fin, comme le constate Politique étrangère dans son dernier numéro. »
Pour lire l’intégralité de l’article en espagnol, cliquez ici.
Le nouveau numéro de Politique étrangère, n° 3/2016, est désormais disponible en version ePub !
Achetez dès maintenant la version numérique sur :
Le nouveau numéro de Politique étrangère (3/2016) vient de paraître ! Il consacre un dossier complet à l’Amérique latine, s’attachant à décrypter pour le Brésil, l’Argentine, la Colombie, le Mexique et le Panama, les raisons principales de l’échec – provisoire ? – de leurs régimes démocratiques. Parallèlement, le Contrechamps de ce numéro propose à travers les articles de Guy Verfhostadt et de Dominique Moïsi une réflexion ouverte sur la crise globale de l’Europe. Enfin, comme à chaque numéro, de nombreux articles viennent éclairer l’actualité, notamment sur l’Iran et la question du nucléaire ou encore sur le rapprochement stratégique indo-australien.
L’Amérique latine incarnait hier une démocratisation politique irrépressible, une tension des sociétés vers la réduction de violentes inégalités, l’insertion croissante dans une économie mondialisée. Le rêve se défait. Au Brésil, l’expérience du Parti des Travailleurs butte sur des inégalités persistantes, une croissance qui marque le pas, un système politique décrédibilisé. L’Argentine a, elle, fait l’expérience de deux mandats « kirchnéristes », difficiles à analyser, et dont la postérité apparaît incertaine. Quant à la Colombie ou au Mexique, les logiques de sortie des violences des rébellions ou du narcotrafic y apparaissent toujours aussi complexes, voire dangereuses. L’Amérique latine témoigne-t-elle désormais d’autre chose que de sa diversité, de son échec provisoire à consolider ses propres choix démocratiques ?
Fièrement propulsé par WordPress & Thème par Anders Norén
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.