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« Le goût amer d’une révolution manquée… »

>> Retrouvez en libre lecture l’article dont est extraite cette citation : « L’Égypte du général Sissi, entre réaction et aspirations révolutionnaires », écrit par Chloé Berger dans le numéro de printemps 2018 de Politique étrangère. < <

« Une mythologie de l’État supplémentaire »

>> Retrouvez l’article dont est extraite cette citation : « Les États au Moyen-Orient : crise et retour », écrit par Dorothée Schmid, responsable du Programme Turquie contemporaine/Moyen-Orient de l’Ifri, dans le numéro de printemps 2018 de Politique étrangère. < <

False Dawn: Protest, Democracy, and Violence in the New Middle East

Cette recension a été publiée dans le numéro de printemps de Politique étrangère (n°1/2018). Clément Steuer propose une analyse de l’ouvrage de Steven A. Cook , False Dawn: Protest, Democracy, and Violence in the New Middle East (Oxford University Press, 2017, 360 pages).

Ce livre tente d’expliquer comment l’espoir des printemps arabes a laissé si rapidement place à une régression violente et autoritaire au Moyen-Orient. L’auteur étudie principalement quatre pays de la région : la Tunisie, l’Égypte, la Libye et la Turquie. Selon lui, trois facteurs sont à prendre en considération pour comprendre cet échec : le caractère en dernière analyse non révolutionnaire des soulèvements, la capacité des dirigeants à manipuler à leur avantage les institutions, et l’importance des questions identitaires.

La situation militaire d’Israël

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L’article « La situation militaire d’Israël » a été écrit par l’historien et journaliste Paul Giniewski, et publié dans le numéro 1/1962 de Politique étrangère.

Si les problèmes d’Israël, après le coup d’État syrien de septembre 1961, avaient paru, du jour au lendemain, allégés de la menace redoutable que présentait l’union des puissantes armées syrienne et égyptienne, ils se compliquaient bientôt par un accroissement spectaculaire de la puissance égyptienne. On apprenait en effet la création de trois brigades nouvelles et d’une garde nationale, l’arrivée dans les ports égyptiens de nouvelles unités navales fournies par l’U.R.S.S., l’équipement de ports égyptiens (avec l’aide probable de techniciens soviétiques) pour l’approvisionnement d’une flotte puissante, comme la flotte soviétique, l’ouverture de négociations pour l’équipement en MIG 19 de trois nouvelles escadrilles égyptiennes, le séjour, enfin, d’une mission soviétique au Caire, dirigée par le ministre des centrales électriques de l’U.R.S.S., dont les conversations, a-t-il été précisé officiellement, « déborderont le cadre de la question des travaux du barrage d’Assouan et envisageront l’extension des relations économiques entre l’U.R.S.S. et la R.A.U., avec la possibilité d’une assistance économique nouvelle de l’Union Soviétique sous forme d’un prêt consenti, pour permettre l’exécution des nouveaux plans de développement économique du pays ».

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