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« La Russie, une puissance faible ? »

Martine L. Petauton, rédactrice en chef du site Internet Reflets du Temps, a consacré le 15 août 2015 une recension au dossier sur la Russie présenté dans le numéro d’été (2/2015) de Politique étrangère.

15-08-15-04_c172a210fb511356b742b74d331af16a« Une fois passée la période – derniers feux de la Guerre Froide éteints – où la « super puissance américaine » Bushienne 1 et 2 flamboyait dans tous les médias, c’est du côté de l’ancien partenaire soviétique, que tous les regards se sont peu à peu tournés. 1991, éclatement du bloc de l’Est. Russie et ses satellites plus ou moins bougeants. Quid de la Russie ; quid surtout de la réalité de sa puissance ? Actuellement, il n’est guère question que d’elle, ses hydrocarbures, sa crise économique, ses mugissements sur la scène Ukrainienne, et son chef – Poutine, le rusé, Poutine, le craint, à tout le moins, le redouté.

La problématique de la toujours remarquable revue de l’Ifri, est, de ce fait, posée pile dans l’axe : Russie, une grande puissance, certes, mais peut-être faible. »

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La Russie ou la limite de la puissance

Jacques Hubert-Rodier, éditorialiste diplomatique pour Les Échos, consacre la chronique « La Revue du jour »  au nouveau numéro de Politique étrangère.

Les echosLa thèse : La Russie est-elle capable d’avoir une « grande stratégie » ? Certes, écrit Thomas Gomart dans « Politique étrangère », le conflit ukrainien a révélé la capacité et le savoir-faire de Moscou en matière politico-diplomatique. Et la Russie reste l’une des rares puissances à pouvoir le faire. Pourtant, affirme le directeur de l’Institut français des relations internationales, cette puissance a une limite. Elle est capable en Ukraine de mener une « guerre limitée », mais cette guerre apparaît comme « anachronique » comparée à ce que devrait faire la Russie pour s’adapter à la mondialisation. D’une certaine façon, Vladimir Poutine a renoué avec la stratégie de la « puissance pauvre » : jouer le prestige à l’international contre la modernisation intérieure.

L’intérêt : Que faire de la Russie ? Est-elle de retour sur les traces de l’Union soviétique ? On en est loin. Ce dossier consacré à la Russie répond à un certain nombre de questions. Car la réalité est complexe. Mais, finalement, la Russie de Poutine est à la recherche de son identité. Et le président russe a fait un pari : celui d’une « logique non économique » provoquant paradoxalement une crise économique.

La citation :« Quelles que soient les qualités des diplomaties européenne et américaine, le retour à la normalisation des relations avec la Russie risque de se faire attendre. » (Tatiana Kastouéva-Jean, Centre Russie/NEI).

 

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Politique étrangère dans Les Échos : « La défense européenne veut sortir de sa somnolence »

Le numéro 1/2015 de Politique étrangère est revue du jour dans Les Échos du 20 mars (voir l’article original). Jacques Hubert-Rodier revient sur le dossier « La défense européenne revisitée ».

00-logo-lesechosLe propos : Vladimir Poutine est-il arrivé à réveiller l’Europe ? La crise ukrainienne a en tout cas obligé les Vingt-Huit à reprendre la réflexion sur la défense européenne, souligne, dans la revue Politique étrangère, Vivien Pertusot, de l’Ifri Bruxelles. Celle-ci dépasse l’opposition classique entre zélateurs de l’Europe de la défense et partisans de l’Otan. L’auteur, lui, passe en revue les faiblesses actuelles de la défense en Europe. Au moment même où les États-Unis baissent la garde, l’Europe, sous la pression de la crise économique et budgétaire, réduit ses armées – un demi-million de soldats en moins en six ans, soit plus de 25 % des effectifs supprimés – et laisse apparaître de graves lacunes dans ses armements et dans la R&D. De plus, les grands projets de mutualisation, au sein de l’Otan comme de l’UE, ont fait long feu.

Crimée : les contradictions du discours russe

Suite au sondage réalisé sur ce blog, nous avons le plaisir de vous offrir l’article du numéro de printemps 2015 de Politique étrangère que vous avez choisi : « Crimée : les contradictions du discours russe », par Jean-Baptiste Jeangène Vilmer.

Cover_1-2015Dans le Panorama du ministère des Affaires étrangères de Russie pour l’année 2013, on peut lire que « dans un contexte de dégradation de la situation intérieure en Ukraine, la Russie a respecté la souveraineté de cet État voisin et a adhéré strictement à la pratique de la non-ingérence dans ses affaires intérieures. C’était déjà faux en 2013, compte tenu des pressions exercées sur le président ukrainien Viktor Ianoukovitch pour qu’il repousse la signature de l’accord d’association avec l’Union européenne (UE). Cela l’est bien plus évidemment aujourd’hui, après l’annexion de la Crimée, la déstabilisation du Donbass et l’intervention directe de dizaines de blindés russes sur le territoire ukrainien. Ce n’est toutefois pas la seule contradiction d’un discours russe qui ne vise rien de moins qu’à créer la réalité. Continuer la lecture sur Cairn.info.

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