
Lisez l’article de Emmanuel Bloch ici.
Retrouvez le sommaire du numéro 3/2024 de Politique étrangère ici.
			Alors que la Cour pénale internationale (CPI) vient d’émettre un mandat d’arrêt contre Benyamin Netanyahou, Yoav Gallant et le chef de la branche armée du Hamas, nous vous proposons en exclusivité de lire l’article « Justice pénale internationale : l’épreuve de vérité », écrit par Marc Perrin de Brichambaut, juge à la Cour pénale internationale de 2015 à 2024, et à paraître dans le nouveau numéro de Politique étrangère (n° 4/2024) début décembre.

La justice pénale internationale peut-elle être un facteur de paix ? La mise en œuvre des dispositions du Statut de Rome a déjà connu plusieurs temps. À mesure que sont mis en cause les plus hauts responsables, ou que la Cour pénale internationale intervient dans des conflits majeurs et non clos (Ukraine, Palestine), les positions des États – parties ou non au Statut – évoluent. Les années à venir devront préciser les positions des États parties, les méthodes de la Cour et sa place dans l’architecture juridique internationale.
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Cette recension a été publiée dans le numéro d’automne 2024 de Politique étrangère (n° 3/2024). Dominique David, rédacteur en chef de la revue, propose une analyse de l’ouvrage de Gaïdz Minassian, Arménie-Azerbaïdjan, une guerre sans fin ? Anatomie des conflits post-soviétiques, 1991-2023 (Passés composés, 2024, 368 pages).

Le grand mérite de l’ouvrage de Gaïdz Minassian est de nous introduire à la complexité : complexité de l’objet – l’affrontement arméno-azéri –, complexités internes des acteurs, complexité plus générale des rapports stratégiques et géopolitiques de l’espace post-soviétique.
L’auteur organise son ouvrage autour des trois temps des « guerres du Haut-Karabagh » : 1991-1998, 1998-2016 et 2017-2023.
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