Cette recension a été publiée dans le numéro d’hiver 2022 de Politique étrangère (n° 4/2022). Denis Bauchard propose une analyse de l’ouvrage d’Élie Barnavi, Confessions d’un bon à rien (Grasset, 2022, 512 pages).

Par-delà un titre qui témoigne du sens de l’autodérision de l’auteur, ce livre permet de mieux comprendre, à travers le parcours d’Élie Barnavi, l’évolution de la société et de la politique israéliennes, de même que la relation souvent difficile avec la France, sa « seconde patrie affective et intellectuelle ».
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.