Climate and International Trade: The Clash of Powers

This article is the English version of: Carole Mathieu, « Climat et commerce international : le choc des puissances », published in Politique étrangère, Vol. 86, Issue 3, 2021.

Couverture de la revue Politique Étrangère n° 3/2021, présentant l'article "Climate and International Trade: The Clash of Powers" de Carole Mathieu, sur une image de fond représentant une carte du monde plate entourée de billets de différentes devises.

Since Joe Biden’s election there has been a sense of optimism around international climate negotiations. The hope of finding a multilateral solution will be revived in a few months’ time at the important COP26 summit in Glasgow, which should mark the end of another cycle of amendments to the 2030 commitments. In record time, the United States has not only rejoined the Paris climate agreement, but it has also presented the rest of the world with a plan to reduce its national emissions by 50–52% from their 2005 levels by 2030. That announcement came on April 22, 2021, during a major virtual summit organized by the White House. It was motivated by two goals: to demonstrate the credibility of the United States’ commitment to climate action, and to increase the diplomatic pressure on other large emitters, chief among them China, to follow the same path.
Nevertheless, the figures are not encouraging. In 2020, the restrictions imposed during the COVID-19 pandemic caused the biggest drop in CO2 emissions (6%) since the Second World War, but that decline has been reversed since the resumption of trade and activity. Predictions for 2021 suggest a rebound of 5%, reflecting the lack of lasting structural change. To find reasons for hope, we must turn to the evolution of official discourse. At the end of 2019, European countries were more or less the only ones to have promised to achieve climate neutrality by 2050; that goal has now been adopted by two-thirds of the global economy, including the United States and China (by 2060)…

[CITATION] L’élargissement de l’UE et la transformation du continent

Citation de l'article L'élargissement de l'UE et la transformation du continent, de Sébastien Maillard, publié dans politique étrangère n° 4/2022, décembre 2022, p. 108
« [...] D'une réponse à la question allemande, l'intégration européenne est en train de devenir une réponse à la question russe. Les candidatures de l'Ukraine, de la Moldavie et des Balkans ne représentent pas seulement une potentielle extension du marché intérieur européen [...]. Elles charrient aussi avec elles une autre mémoire et une autre perception de la menace, qui peuvent réorienter les politiques européennes. »

Lisez l’article intégral de Sébastien Maillard ici.

Retrouvez le sommaire du numéro 4/2022 de Politique étrangère ici.

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Retour du Soudan / Élargissement : les Balkans sur le chemin de l’Union européenne ?

Dans le podcast Cultures Monde du 16 décembre 2022, France Culture a réuni une table ronde pour discuter de la politique d’élargissement de l’Union européenne aux Balkans. Pierre Mirel, auteur de l’article « Union européenne-Balkans occidentaux : les illusions perdues ? », publié dans le numéro d’hiver de Politique étrangère (n° 4/2022), participe à cette discussion.

La présidente de la Commission européenne, Ursula Van der Leyen encourageait le 12 octobre 2022 les 27 à accorder un statut de « candidat à l’adhésion » à la Bosnie-Herzégovine. Un statut que le pays a officiellement obtenu jeudi 15 décembre 2022, rejoignant ses voisins sur le très long chemin que représente le processus d’intégration à l’Union. Voilà près de 20 ans que l’on fait miroiter aux Balkans la perspective d’une intégration à la grande famille européenne, provoquant impatience et frustrations. Mais la guerre en Ukraine pourrait changer la donner et peut-être même faire de l’intégration des Balkans une nouvelle priorité.

Souveraineté industrielle

Cette recension a été publiée dans le numéro d’hiver 2022 de Politique étrangère (n° 4/2022).
Norbert Gaillard propose une analyse de l’ouvrage d’Élie Cohen, Souveraineté industrielle, vers un nouveau modèle productif (Odile Jacob, 2022, 240 pages).

Couverture du livre Souveraineté industrielle d'Élie Cohen, sur fond d'immeubles du quartier de La Défense à Paris

Élie Cohen, économiste et directeur de recherche au CNRS, définit la « politique industrielle » comme le soutien spécifique de l’État à un groupe de secteurs ou d’entreprises en vue de préserver l’indépendance nationale, de pallier des défaillances de marché, de contenir le déclin d’activités traditionnelles, de favoriser la spécialisation dans des technologies d’avenir et/ou de veiller à certains équilibres régionaux.

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