Alors que les combats s’intensifient à l’est du Congo, et en particulier à Goma, nous vous proposons de (re)lire l’article de Colette Braeckman, publié dans le n° 4/2022 de Politique étrangère, « À l’est du Congo, les racines d’un quart de siècle de violence ».

Près de 30 ans après le génocide des Tutsis au Rwanda, toute la région reste déstabilisée. Après l’arrivée de Paul Kagame au pouvoir, un million et demi de Hutus avaient fui en République démocratique du Congo. Ils représentaient pour le président rwandais une menace inacceptable. S’en sont suivies les deux guerres du Congo dont les séquelles sont encore visibles. Les récentes attaques perpétrées par les rebelles du M23 constituent un nouvel épisode de cette tragique histoire.
Retrouvez l’article complet au format PDF ici.

![Citation de l'article "À l'est du Congo, les racines d'un quart de siècle de violence" de Colette Braeckman, paru dans Politique Étrangère 4/2022. « La “paix à bon marché” contenait les germes de futures guerres. N'ayant fait ni vainqueur ni vaincu, le conflit s'était officiellement soldé par l'étrange formule d'une cohabitation forcée entre les ennemis d'hier et surtout par le “brassage” des armées belligérantes. [...] des hommes proposés aux plus hautes fonctions [...] qui allaient [...] pratiquer un double jeu et miner l'institution dans laquelle ils avaient été insérés. »](https://i0.wp.com/politique-etrangere.com/wp-content/uploads/2023/03/Citation-Braeckman-020320231-1024x573.png?resize=629%2C352&ssl=1)

Vous devez être connecté pour poster un commentaire.