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Retrouvez le sommaire du numéro 4/2021 de Politique étrangère ici.
Le nouveau numéro de Politique étrangère (n° 4/2021) vient de sortir ! Ce numéro spécial aborde la question : « Politique étrangère : la France à un tournant ? ». Trois dossiers – la stratégie française à horizon 2030, l’Europe et les sorties de crises, le Sahel – permettent d’y apporter des réponses. Enfin, deux autres articles viennent éclairer l’actualité : l’Afghanistan et les talibans, la tentation autocratique de la Pologne…
Face à un monde dont les fondamentaux se redéfinissent, la politique étrangère de la France est elle-même en question. Dans quelles géographies faut-il affirmer sa présence ? À quels défis majeurs faut-il répondre pour survivre dans le monde de demain ? Quel rapport à ce monde redessiner quand se ferment, sur le naufrage afghan, trente années d’interventions extérieures occidentales ?
L’option européenne est une priorité pour tout raisonnement de politique étrangère français. Mais pour quelle Europe ? La crise du Covid nous lègue-t-elle une Union « fédéralisée », ou confirme-t-elle la résilience des égoïsmes nationaux ? L’Union européenne est-elle décidée à se donner les moyens – en particulier budgétaires – de réussir sa transition numérique et environnementale ? Et décidera-t-elle de s’affirmer enfin au service de sa propre sécurité ?
Cette recension a été publiée dans le numéro d’été 2021 de Politique étrangère (n° 2/2021). Sophie Boisseau du Rocher, chercheuse associée au Centre Asie de l’Ifri, propose une analyse de l’ouvrage de Simon Tay, Shadows across the Golden Land: Myanmar’s Opening, Foreign Influence and Investment (World Scientific Publishing, 2020, 476 pages).

Cet ouvrage retrace tout d’abord l’histoire compliquée de ce pays, si compliquée d’ailleurs que les malentendus s’accumulent et alimentent les tensions récurrentes entre acteurs locaux et étrangers (chapitres 1, 2 & 3). Pour approfondir et illustrer son propos, l’auteur consacre deux chapitres (chapitres 6 & 7) à la crise « simple et complexe » des Rohingyas, illustration exemplaire de ces malentendus.
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