Éditorial de Politique étrangère 2/2013.
Les recompositions présentes questionnent une des références les plus traditionnelles des relations internationales : la notion de puissance. L’ère de la puissance totale, qui surplombait les autres acteurs dans la quasi-totalité des facteurs d’affirmation de la force (économiques, militaires, politiques, diplomatiques, culturels…) est sans doute, pour un temps, close. Et l’unipolarité américaine n’aura fait rêver, ou cauchemardé, que dix ans.
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