Étiquette : énergies renouvelables Page 3 of 5

The Gulf Economies and the Energy Transition: The Dawn of a Post-Oil Era?

This article is the English version of Hugo Le Picard,
« Les économies du Golfe et la transition énergétique. Vers une ère post-pétrolière ? », published in Politique étrangère, Vol. 85, Issue 1, 2020.

Photographie d'arrière-plan par Jirayu Koontholjinda (Unsplash) représentant la baie de Doha au Qatar couverte d'un film gris de pollution. Au premier plan, couverture de PE 1/2020.

In the Middle East, the issue of energy and climate change is characterized by superlatives. Home to the world’s major oil and gas reserves, the region produces a third of the oil consumed worldwide, although it faces increased competition, particularly from North American producers. It comprises states such as Saudi Arabia, the United Arab Emirates (UAE), and Qatar, which have some of the highest CO2 emissions per capita in the world. Their energy consumption continues to increase, supported by some of the highest fossil fuel subsidies in the world. Water consumption per capita is breaking records, and its primary source, desalination, is particularly energy intensive. Economic and demographic growth has given rise to growing national electricity needs. The region is also experiencing first-hand the impacts of global warming, as evidenced by increasing water stress. The amount of sunlight it receives offers huge potential for solar electricity production and could therefore offer a solution to this increased consumption, although currently the electricity mix is still largely dominated by fossil fuels.
With the climate emergency growing stronger every day, and climate governance calling for countries to increase their nationally determined contributions ahead of COP26 at the end of 2020, how are the oil-producing states of the Middle East contemplating the diversification of their economies and energy systems? Do Saudi Arabia and the UAE, further exposed to strong geopolitical tensions, have realistic ambitions…

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[CITATION] Les financements-climat vers l’Afrique : charge ou opportunité ?

Lisez l’article de Jean-Michel Severino ici.

Retrouvez le sommaire du numéro 1/2022 de Politique étrangère ici.

Le New Deal vert mondial

Cette recension a été publiée dans le numéro d’été de Politique étrangère (n° 2/2020).
Marc-Antoine Eyl-Mazzega, directeur du Centre Energie de l’Ifri, propose une analyse de l’ouvrage de Jeremy Rifkin
Le New Deal vert mondial. Pourquoi la civilisation fossile va s’effondre d’ici 2028… Le plan économique pour sauver la vie sur Terre (Les liens qui libèrent, 2019, 304 pages).

Jeremy Rifkin a souvent été considéré comme un précurseur et le sera encore pour son New Deal vert mondial. Pour lui, la nouvelle révolution industrielle est en marche et va bouleverser nos modes de vie, de travail, de produire et de consommer. Elle est à portée de main : l’internet des objets – le pilotage intelligent et à distance optimisant tous les processus, notamment l’offre et la demande d’énergie – se déploie partout ; le coût de déploiement des énergies renouvelables est en baisse constante ; les technologies de stockage sont prometteuses, et celles permettant le pilotage des réseaux, de l’offre et de la demande d’électricité, permettront une électrification croissante par les énergies renouvelables ; l’efficacité énergétique peut progresser partout. Le nouvel ordre sera celui de la « glocalisation », chacun étant acteur du système économique et énergétique à part entière, en étant interconnecté grâce aux solutions digitales.

L’énergie et l’économie mondiale, Jacques de Larosière (1980)

En cette période de confinement liée à l’épidémie de coronavirus, la rédaction de Politique étrangère vous offre de (re)lire des textes qui ont marqué l’histoire de la revue. Nous vous proposons aujourd’hui un article de Jacques de Larosière, intitulé « L’énergie et l’économie mondiale », et publié dans le numéro d’automne 1980.

Après le quadruplement des prix du pétrole en 1973, les pays industrialisés avaient réussi à rééquilibrer leur balance des paiements courants grâce notamment à une baisse des prix réels du pétrole. Mais les déficits massifs de la balance des paiements courants que connaissent aujourd’hui, à la suite des nouvelles hausses décidées par l’OPEP, les pays importateurs de pétrole, risquent de se révéler plus persistants. Nous pouvons en effet nous attendre à ce que les tensions sur les prix persistent plus longtemps et à ce que les excédents pétroliers soient plus durables qu’après 1974.

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