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Retrouvez le sommaire du numéro 3/2025 de Politique étrangère ici.
Le nouveau numéro de Politique étrangère (n° 3/2025) sort le 9 septembre ! Au sommaire, un dossier sur Trump II et le monde, suivi d’un contrechamps sur la défense de l’Europe. Au-delà de ces articles, d’autres contributions viennent éclairer l’actualité : le processus de paix entre Turquie et PKK, les Chiites d’Irak face à l’influence iranienne, le djihadisme en zone syro-irakienne, le programme nucléaire iranien, la problématique de la dette à Haïti… Des textes pertinents pour mieux appréhender les enjeux de la rentrée !
Découvrez en vidéo le détail du sommaire de ce numéro !
Cette recension a été publiée dans le numéro d’hiver de Politique étrangère (n° 4/2017). Denis Bauchard, conseiller pour le Moyen-Orient à l’Ifri, propose une analyse de l’ouvrage de Dorothée Schmid, La Turquie en 100 questions (Tallandier, 2017, 280 pages).
La collection «En 100 questions» des éditions Tallandier entend donner des réponses pertinentes aux questions posées par un problème ou un pays faisant l’actualité. Il allait de soi que la publication d’un ouvrage sur la Turquie s’imposait, et celui-ci est signé Dorothée Schmid, spécialiste reconnue de la Turquie contemporaine qui dirige le programme «Turquie contemporaine et Moyen-Orient» à l’Ifri.
Cette recension a été publiée dans le numéro d’hiver de Politique étrangère (n°4/2016). Rémy Hémez, chercheur au Laboratoire de recherche sur la défense (LRD) à l’Ifri, propose une analyse de l’ouvrage d’Adam Baczko, Gilles Dorronsoro et Arthur Quesnay, Syrie. Anatomie d’une guerre civile (CNRS Éditions, 2016, 416 pages).
Ce livre, co-écrit par Gilles Dorronsoro, professeur à l’université Paris 1, et deux doctorants, Arthur Quesnay et Adam Baczko, étudie en profondeur de la guerre civile syrienne. Les auteurs ont réalisé 250 entretiens, pour une bonne partie en Syrie, entre décembre 2012 et janvier 2013, et en août 2013, à une époque où il était encore possible d’accéder à la zone de guerre. Ils distinguent trois étapes dans la révolution syrienne.
La première, en 2011, est une phase de contestation politique essentiellement pacifique. Une telle contestation paraissait improbable pour la plupart des spécialistes, mais le fait même qu’elle ait existé permet de comprendre a posteriori les faiblesses du régime, à savoir son absence de base sociale et son manque de maîtrise des effets politiques du néolibéralisme.
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