
Accéder à l’article de Stephen Wall, « La politique étrangère britannique après le Brexit : la géographie, c’est le destin » ici.
Retrouvez le sommaire complet du numéro 4/2020 de Politique étrangère ici.
La rédaction a le plaisir de vous offrir à lire ce second article de Florence Faucher et Colin Hay, « Breaking up is hard to do : Royaume-Uni et Union européenne après le Brexit », publié dans le nouveau numéro de Politique étrangère (n° 4/2020), disponible depuis le 7 décembre.
Pour un vrai politiste, n’est prévisible que ce qui est inévitable. Et aussi longtemps que les choses demeurent politiques, elles ne sont pas inévitables. Le Brexit a toujours été, et restera, politique. Il n’y a donc rien d’inévitable dans la prospective des relations entre le Royaume-Uni et l’Union européenne (UE), au court, moyen, ou long terme. Et si rien n’est inévitable, rien n’est connu à l’avance. Les relations politiques, comme les relations sociales, se nouent, se renouent, se rompent à travers des processus qui les déterminent. Et, comme on va le voir, une rupture est rude à consommer : en l’occurrence elle est difficile à conclure, elle laissera traces et cicatrices.
La rédaction de Politique étrangère vous offre à (re)lire des textes qui ont marqué l’histoire de la revue. Nous vous proposons aujourd’hui un article de Lincoln Steel, intitulé « L’économie britannique et le marché commun », et publié dans le numéro 3/1957 de Politique étrangère.
Avant d’aborder l’étude d’un tel sujet, il est peut-être bon de revenir un peu en arrière, ce qui permettra, je, crois, de mieux se rendre compte du point de vue adopté par la Fédération des Industries et les producteurs britanniques. A l’époque de la conférence de Messine, peu de gens croyaient au Royaume-Uni que le Marché commun aboutirait un jour. Des doutes très sérieux subsistaient quant à la possibilité pour les Six de parvenir à un accord du type de celui qui fut finalement réalisé.
Fièrement propulsé par WordPress & Thème par Anders Norén
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.