L’UE peut-elle se doter des moyens de la puissance ?

Lisez l’article de Tara Varma ici.

Retrouvez le sommaire du numéro 1/2022 de Politique étrangère ici.

The Future of Multilateralism

Cette recension a été publiée dans le numéro de printemps 2022 de Politique étrangère (n° 1/2022). Franck Petiteville propose une analyse de l’ouvrage dirigé par Madeleine O. Hosli, Taylor Garrett, Sonja Niedecken et Nicolas Verbeek, The Future of Multilateralism: Global Cooperation and International Organizations (Rowman and Littlefield, 2021, 272 pages).

Cet ouvrage collectif entend, en quatorze chapitres, décliner les crises et évolutions, en cours et à venir, du multilatéralisme. Sa première partie est centrée sur les organisations internationales, la deuxième sur les organisations régionales, la troisième sur quelques régimes internationaux (aide au développement, climat, fiscalité internationale).

Turkey in Africa

Cette recension a été publiée dans le numéro de printemps 2022 de Politique étrangère (n° 1/2022). Elisa Domingues dos Santos, chargée de projets pour le Centre Afrique subsaharienne et le Programme Turquie/Moyen-Orient de l’Ifri, propose une analyse croisée des deux ouvrages suivants : Elem Eyrice Tepeciklioğlu et Ali Onur Tepeciklioğlu (dir.), Turkey in Africa: A New Emerging Power? (Routledge, 2021, 292 pages) ; Federico Donelli, Turkey in Africa: Turkey’s Strategic Involvment in Sub-Saharan Africa (Bloomsbury, 2021, 224 pages).

Engagement opportuniste ou stratégie à long terme, l’ampleur qu’a pris ces dernières années la présence turque en Afrique subsaharienne intrigue, tant elle gagne en substance.

En abordant la Turquie à partir de son statut de puissance émergente, ces ouvrages offrent tout d’abord un cadre théorique à l’analyse des relations turco-africaines. L’activisme de la Turquie en Afrique répond aux caractéristiques de la puissance émergente (discours révisionniste, rhétorique du partenariat gagnant-gagnant, liens basés sur les relations commerciales, engagement pour le maintien de la paix, préférence pour la coopération bilatérale plutôt que multilatérale), et sert dans le même temps les objectifs de ce statut (diversification des partenaires, soutien diplomatique dans les instances internationales, construction d’un nouveau récit identitaire).

[CITATION] La diplomatie climatique sino-américaine

Lisez l’article de Kevin Tu ici.

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