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Cette recension a été publiée dans le numéro d’été 2021 de Politique étrangère (n° 2/2021). Dominique David, rédaction en chef de Politique étrangère, propose une analyse de l’ouvrage dirigé par Georges-Henri Soutou, L’action extérieure de la France (PUF, 2020, 576 pages).

L’Académie des sciences morales politiques a entendu en 2019, sous la présidence de Georges-Henri Soutou, une remarquable série de communications sur l’action extérieure de la France, que reprend cet épais ouvrage. Son intérêt majeur est de tenter de cerner l’actualité de cette action extérieure : ses objectifs, ses moyens, la manière dont elle est reçue, à partir de métiers divers (universitaires, politiques, haut-fonctionnaires) et de points d’observation multiples (français et étrangers).
Le 25 juin dernier, Audrey Tonnelier a publié dans Le Monde un article consacré à la dette publique française. Elle cite à cette occasion le contrechamps du numéro d’été de Politique étrangère (n° 2/2021), « Que faire de la dette ? ».

Les stigmates de la crise sanitaire continuent de peser sur les comptes publics. Au sortir de quinze mois de pandémie, la dette publique française (qui additionne celle de l’Etat, des administrations de Sécurité sociale et des collectivités) a poursuivi sa hausse, pour atteindre le niveau record de 118,2 % du produit intérieur brut (PIB) au premier trimestre 2021, soit 2 739,2 milliards d’euros, a annoncé l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), vendredi 25 juin.
Cette recension a été publiée dans le numéro d’été 2021 de Politique étrangère (n° 2/2021). Paul Maurice, chercheur au Comité d’études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l’Ifri, propose une analyse de l’ouvrage dirigé par Nicole Colin et Claire Demesmay, Franco-German Relations Seen from Abroad: Post-War Reconciliation in International Perspectives (Springer, 2020, 242 pages).

La question centrale est ici de savoir si la réconciliation franco-allemande, perçue comme une évidence après 1945 dans les deux pays, avec une valeur symbolique forte dans le monde entier, peut s’appliquer à d’autres situations de conflits. Nicole Colin, professeur à l’université Aix-Marseille et Claire Demesmay, qui dirige le programme France/Relations franco-allemandes de l’Institut allemand de politique étrangère (DGAP) examinent les perceptions « externes » de la relation franco-allemande, à la fois dans une perspective historique et comme moteur d’intégration régionale. Les différentes contributions cherchent à montrer si, et comment, la réconciliation et la coopération franco-allemandes sont perçues comme un modèle dans d’autres régions.
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