Étiquette : Politique de sécurité et de défense

Sehenden Auges

Cette recension a été publiée dans le numéro d’été 2024 de Politique étrangère (n° 2/2024). Hans Stark, conseiller pour le Comité d’études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l’Ifri, propose une analyse de l’ouvrage de Stefanie Babst, Sehenden Auges. Mut zum strategischen Kurswechsel (DTV Verlag, 2023, 288 pages).

Stefanie Babst, politologue, a été haut fonctionnaire de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) de 2006 à 2020 – Deputy Assistant Secretary General dans la Public Diplomacy Division, ce qui faisait d’elle la représentante allemande la plus haut placée au secrétariat général de l’OTAN. Elle est désormais consultante, avec des responsabilités au sein du présidium de la DGAP à Berlin.

The Responsability to Defend

Cette recension a été publiée dans le numéro d’automne 2022 de Politique étrangère (n° 3/2022). Hans Stark, ancien Secrétaire général du Cerfa à l’Ifri, propose une analyse de l’ouvrage de Bastian Giegerich et Maximillian Terhalle, The Responsability to Defend: Rethinking Germany’s Strategic Culture (Routledge, 2021, 148 pages).

Dans son discours au Bundestag du 26 février 2022, le chancelier Scholz a annoncé une révolution copernicienne en matière de politique de défense et de sécurité en Allemagne. Cette décision n’est pas seulement due à l’invasion russe en Ukraine. Elle s’explique aussi par un besoin criant en matière de défense : l’Allemagne, en dépit des 50 milliards d’euros initialement consacrés à la défense dans son budget 2022 (avant l’invasion), n’est en mesure ni de se défendre, ni de contribuer substantiellement à la défense de l’Europe, que ce soit dans le cadre de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) ou dans celui de l’Union européenne.

[CITATION] Sortir de l’impasse euro-américaine

« « Europe de la Défense », « Autonomie stratégique », « Armée européenne » : slogans, ou volonté ferme de briser les impasses de la Politique de sécurité et de Défense (PSDC) de l’Union européenne, de forger, enfin cette Union de la défense européenne qu’annonçait le « sommet des chocolatiers » d’avril 2003 ? « L’OTAN est obsolète », « atteinte de mort cérébrale » : propos tapageurs, ou tableau objectif d’une Alliance ayant dépassé sa date limite de vente ? »

Accéder à l’article de Jolyon Howorth, « Sortir de l’impasse euro-américaine » ici.

Retrouvez le sommaire complet du numéro 3/2020 de Politique étrangère ici.

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