Étiquette : droit international Page 1 of 4

Backfire: How Sanctions Reshape the World Against U.S. Interests

Cette recension a été publiée dans le numéro d’été 2024 de Politique étrangère (n° 2/2024). Michel Makinsky, directeur général d’Ageromys International et chercheur associé à l’IPSE et l’IEGA, propose une analyse de l’ouvrage d’Agathe Demarais, Backfire: How Sanctions Reshape the World Against U.S. Interests (Columbia University Press, 2024 [nouvelle édition], 304 pages).

Depuis vingt ans, les publications consacrées aux sanctions se multiplient, reflet de la prolifération des sanctions émanant principalement des États-Unis. Ce sujet suscite un intérêt croissant tant des chercheurs en relations internationales, politologues, analystes, que parmi les avocats, juristes, magistrats, universitaires spécialistes en droit international. Mais elles sont surtout au centre des préoccupations des banques et entreprises engagées dans les marchés internationaux.

Géopolitique des mers

Cette recension a été publiée dans le numéro de printemps 2024 de Politique étrangère (n° 1/2024). Cyrille P. Coutansais et Manon Vissio proposent une analyse de l’ouvrage de Maxence Brischoux, Géopolitique des mers (Presses universitaires de France, 2023, 168 pages).

Maxence Brischoux nous embarque dans une réflexion autour du gouvernement des mers, cabotant de l’histoire à la philosophie en passant par la politique ou l’économie. Cette réflexion est sous-tendue par quatre ruptures. La première d’entre elles, bien connue désormais, est l’impact environnemental qui, de la surpêche aux effets du réchauffement climatique en passant par la pollution plastique, fait peser une menace prégnante sur les océans et impose une protection à la hauteur.

China’s Law of the Sea

Cette recension a été publiée dans le numéro de printemps 2024 de Politique étrangère (n° 1/2024). Charles-Emmanuel Detry propose une analyse de l’ouvrage d’Isaac B. Kardon, China’s Law of the Sea: The New Rules of Maritime Order (Yale University Press, 2023, 416 pages).

Un peu plus de quarante années se sont aujourd’hui écoulées depuis la négociation de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer (CNUDM), signée en 1982 à Montego Bay et entrée en vigueur en 1994. Consacrant l’emprise croissante des États côtiers sur les mers sans répudier tout à fait le vieux principe de la liberté de navigation, elle est en particulier le fruit d’un compromis historique entre l’intérêt des États en développement à s’approprier une part des ressources des océans, et celui des puissances maritimes, emmenées à l’époque par les États-Unis et l’Union soviétique, à maintenir la circulation de leurs navires militaires.

[CITATION] Sanctions secondaires américaines : du vieux vin dans des outres neuves ?

Accédez à l’article de Sophie Marineau ici.

Retrouvez le sommaire du numéro 3/2021 de Politique étrangère ici.

Page 1 of 4

Fièrement propulsé par WordPress & Thème par Anders Norén