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« Au Mali, l’erreur centrale de la France a consisté à prétendre favoriser le ‘retour’ d’un État malien »

Le 13 février, le journaliste Philippe Bernard a dédié sa chronique dans Le Monde à l’état des relations entre la France et le Mali, tendues, à quelques semaines des élections présidentielles françaises. Il y cite le dossier « Sahel : les sociétés contre l’État ? », publié dans le numéro d’hiver de Politique étrangère (n° 4/2021).

« Une humiliation diplomatique et militaire en Afrique. Emmanuel Macron n’avait pas besoin de cela à quelques semaines de l’élection présidentielle. Les officiers putschistes au pouvoir à Bamako qui expulsent l’ambassadeur de France et attisent les sentiments antifrançais savent parfaitement à quel point la période est sensible. Les responsables russes qui déploient les miliciens du Groupe Wagner au nez et à la barbe des soldats français ne l’ignorent pas non plus.

[CITATION] Quel avenir politique pour le Mali ?

Accédez à l’article de Monique Chemilier-Gendreau ici.

Retrouvez le sommaire du numéro 4/2021 de Politique étrangère ici.

Une guerre perdue. La France au Sahel

Cette recension a été publiée dans le numéro d’automne de Politique étrangère 
(n° 3/2020)
. Alain Antil, directeur du Centre Afrique subsaharienne de l’Ifri, propose une analyse de l’ouvrage de Marc-Antoine Pérouse de Montclos, Une guerre perdue. La France au Sahel (JC Lattès, 2020, 200 pages).

Dans cet essai, Marc-Antoine Pérouse de Montclos, spécialiste des conflits, du Nigeria, de Boko Haram, tente de dresser le bilan de l’action de la France au Sahel, en particulier de sa lutte contre le terrorisme depuis l’intervention de l’opération Serval. Comme on l’aura deviné avec le titre, la tonalité est résolument pessimiste. L’auteur pense en effet que les effets négatifs de l’action antiterroriste française au Sahel dépassent ses conséquences positives.

La Terre de l’insolence

Cette recension a été publiée dans le numéro d’hiver de Politique étrangère
(n° 4/2018)
. Marc Hecker, rédacteur en chef de Politique étrangère et directeur des publications de l’Ifri, propose une analyse de l’ouvrage de Nicolas Israël, La Terre de l’insolence. Une anthropologie des conflits  (Les Belles Lettres, 2018, 288 pages).

Nicolas Israël, agrégé et docteur en philosophie, a réalisé au cours des dernières années plusieurs consultances pour des institutions françaises sur la lutte contre le terrorisme et les insurrections. Le rapport qu’il a co-écrit en 2012 sur l’« engagement tribal » est par exemple disponible sur le site du Conseil supérieur de la formation et de la recherche stratégiques (CSFRS).

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